Enregistrements audio de sociopathes
qui jouent les apprentis espions.

par Daniel Milev

Dernière mise à jour : le 10 novembre 2014.

Ceci est une page d'enregistrements audio des personnes qui m'espionnent, en Bulgarie, à partir de l'appartement au-dessus de chez moi, dans le cadre d'un harcèlement en réseau de la vie privée - "gang stalking". L'appartement en question appartient à un couple de retraités qui ont toujours affirmé qu'il n'y a personne d'autre à part eux-mêmes à leur domicile et qu'ils n'ont jamais loué à d'autres personnes depuis des années. Leurs dépositions écrites à la Police en témoignent. Aucun de mes voisins n'a témoigné d'avoir remarqué la présence d'autres personnes à part les propriétaires à leur domicile. Les enregistrements sont en langue bulgare, avec des sous-titres en français et en bulgare, incorporés dans un conteneur vidéo. Les sociopathes se placent toujours au-dessus de moi dans toutes les pièces où je me trouve ce qui devrait être lié à la technique d'espionnage et à la portée de leur appareil. Ils me suivent ainsi comme des obsédés depuis quatre ans, 24h/24h, afin de ne rien louper de ce que je pense à tout moment à mon domicile, ce qui révèle assez clairement la présence d'une pathologie grave dans leur comportement. Les enregistrement ont débuté le 14 mars 2011 et se poursuivent encore de nos jours, avec quelques périodes d'arrêt. La Police bulgare n'a même pas retrouvé les criminels dans l'appart au-dessus de chez moi. Pour en savoir davantage, lisez l'article afférent.

La publication a des objectifs multiples - dans un premier temps, informer le plus grand nombre de gens sur les problèmes d'intrusion dans la vie privée et l'existence de pratiques fascisantes dans les sociétés démocratiques des pays les plus développés. Dans un second temps, tenter de porter une réflexion approfondie et scientifique sur le comportement extrêmement dangereux des personnes impliquées dans lе harcèlement de la vie privée - des réseaux fascistes. Et dans un troisième temps, après avoir clairement défini le degré de menace pour les sociétés démocratiques que de telles pratiques honteuses représentent, chercher des solutions pour les abolir et éviter qu'elles ne réapparaissent plus jamais. Le style des commentaires personnels que je fais sur chaque enregistrement est volontairement satirique, car, étant conscient qu'il s'agit d'un phénomène négatif pour la société, c'est sans doute la meilleure manière de le stigmatiser. Les enregistrements audio sont présentés, après amélioration du rapport voix/bruits, à la disposition des spécialistes psychiatres, psychanalystes, psychologues, sociologues, historiens, juristes, journalistes et tout citoyen qui souhaite se faire un avis honnête sur cette question primordiale.


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Ci-dessous, le tout premier enregistrement que j'ai effectué. Il a une valeur très particulière pour moi, non seulement parce qu'il m'était longtemps impossible de comprendre son contenu, le son étant trop bas, mais surtout à cause de ce que j'allais y découvrir, une fois après avoir réussi, tant bien que mal, à surmonter l'obstacle. Ce n'est que tout récemment que j'ai réalisé cet exploit et si la qualité laisse encore beaucoup à désirer, le contenu est fort intéressant. L'enregistrement original fait 1h36min. Il est découpé en petits fragments d'une minute ou moins chacun qui sont intégrés à une vidéo avec des sous-titres pour faciliter la compréhension. Une mise à jour complète des fichiers est à venir et les fichiers anciens sont déjà retirés puisqu'ils comportaient bien d'erreurs qui seront rectifiées, et les omissions complétées. La particularité, en plus du fait que c'est le tout premier enregistrement, réside dans la manière dont j'ai réussi à faire le vide dans ma conscience en évitant de penser que je dois sortir et à filer dehors en douce, sans que les camarades qui me surveillent depuis l'appartement au-dessus de chez nous s'en rendent compte apparemment, à moins qu'ils n'aient décidé de faire semblant avant que je n'entame la prise du son. Je laisse à vous de juger.


ENREGISTREMENTS du lundi, 14 mars 2011
Téléchargement(compressé sous Xvid)
      NOUVEAU         14.03.2011 - 17h04     (5 720 kB)
Nous commençons à nouveau avec la question posée par une fille sur l'extrait audio précédent(page 1). Elle demande des volontaires pour se faire accompagner au-dehors. Un garçon lui répond que ce sera "Toni". Il s'agit très probablement d'Antonya, la fille dont nous avions découvert le prénom tout juste avant que la question ne soit posée, sur l'extrait audio précédent. Juste après, les sociopathes mentionnent un appareil qui possède une connexion de filature qui devrait à mon avis leur permettre de suivre à distance ce que je pense lorsque je suis dehors, en envoyant des personnes me suivre à l'extérieur lors de mes déplacements. Cela ne laisse absolument aucun doute sur l'activité principale de ces enflures fascistes. Comme j'ai toujours présumé que leurs gadgets sont des téléphones portables ou smartphones trafiqués, ils devraient posséder un abonnement pour communiquer en groupe gratuitement, ce qui faciliterait énormément leurs crimes et forfaits. Un fasco décrit l'appareil à juste titre comme un "cadeau-horreur", mais il ne devient pas clair si on vient de le lui offrir ni si c'est la personne qui fête son anniversaire ce jour - Boby (Boris?), ou bien si c'est juste un commentaire pour se faire remarquer. Ils envoient donc deux filles sur la route, mais sans préciser laquelle. Les salopes connaissent bien leur métier ! Tandis que l'un des camarades se plaint d'un surentraînement, nous découvrons les prénoms d'encore deux pigeons - Alex et Yana, qui sont tous les deux chez la demoiselle pendant que d'autres se crèvent le bide à l'entraînement avec quelques bières. Et juste après nous apprenons la triste nouvelle qu'un certain Dimitar et renvoyé. Non, je ne pleure pas sur son sort ! Cependant, quelqu'un d'autre le fait et je me demande si ce n'est pas le type bourré qu'on enjoint de ne pas vomir lors du trajet, car ils ne risquent pas de s'arrêter. C'est sûr qu'ils trouverons plein d'autres déchets comme lui. Apparemment, certains déménagent et on leur signale que prendre avec eux dont un banc de muscu qui explique pourquoi j'entends toujours régulièrement des poids tomber sur la dalle au-dessus de ma chambre - les déménageurs l'ont trouvé trop "étroit" pour vouloir l'emporter et donc il reste. Adrénaline, phéromones et bière, il n'en faut pas plus pour que les têtes de fascos s'embrouillent et commencent à se taper dessus. Une fille déclare la situation critique pour leur Service. Ils parlent de leur activité comme celle d'une entreprise avec des salariés qui se font renvoyer et d'autres qu'on engage, avec une structure hiérarchique et divers Services. Serait-ce un délire de jeunes boutonneux qui veulent se la jouer comme des professionnels ou une vrai corporation dont un des Services est destiné à l'espionnage et en particulier à moi depuis déjà presque 4 ans ? Tandis que certains essaient de calmer les ardeurs en rappelant qu'il ne faut pas se battre ici - le lieu semble sacré tout de même, d'autres sont beaucoup plus pragmatiques et tout en ignorant complètement l'altercation se posent des questions existentielles concernant le sort du thermostat. Hé oui, on s'habitue aux affaires des autres, lorsqu'on vit en collocation, comme à ses propres affaires, après les avoir utilisées régulièrement !
      SCANDALEUX         14.03.2011 - 17h05     (6 310 kB)
Quelques heures avant de mettre à jour ce fichier, une voisine que j'ai croisée dans l'ascenseur m'a subitement déclaré que cela faisait longtemps que personne ne l'avait questionnée à propos de moi. Je lui ai demandé qui avait cherché des infos sur moi, elle m'a répondu que c'étaient des "tantines" qui lui auraient avoué de m'avoir suivi parce que j'avais les cheveux longs et pour demander qui j'étais et ce que je faisais. Je me suis laissé pousser les cheveux depuis le mois d'avril 2011, en réaction à la fascisation totale de ma vie privée pendant déjà 4 ans, donc c'est quelque chose qui a dû se produire voici deux ans, lorsque mes cheveux étaient devenus suffisamment longs. Un quart de siècle après la chute du régime en Bulgarie, les gens continuent d'avoir des réflexes totalitaires fascisants ce qui révèle la présence d'un problème très grave de santé mentale chez une population assez large de la nation bulgare et qui n'est absolument pas pris en charge par les autorités sanitaires du pays. Cette partie de l'enregistrement est de qualité médiocre, car la plupart du temps les zombies marmonnent tout bas et ce n'est que par moments qu'ils s'écrient un peu plus fort. Le son a été considérablement amplifié et il faut penser à réduire le volume à environ 50% pour entendre correctement, ensuite il faut réajuster le niveau sonore et réécouter plusieurs fois pour entendre certaines répliques. Après avoir annoncé le renvoi de Dimitar, ses camarades l'incitent à se dépêcher en emportant ses affaires. Le pauvre diable se plaint qu'on veut le faire partir sans culottes. Antonia est désignée pour chercher quelque chose avec un certain Zhoro qui l'appelle coéquipière ou cogérante - le contexte ne permet pas d'en juger. Pour la première fois, nous apprenons le nom et le prénom d'un des nigauds au domicile au-dessus de chez moi - un certain Dobri Penchev. Un des fascos veut se rappeler à ce propos où ils gardent la carabine. Il faut croire qu'ils ont des raisons sérieuses d'être armés et ce n'est certainement pas le couple de retraités, propriétaires de l'appart, qui leur fait peur. A défaut d'avoir des qualités louables, ces minables se vantent de transformer leur habitat en un lieu de perversion et d'avoir battu le chat dont m'avaient parlé les vieux d'en haut. Une nana rappelle pourquoi les filles sont là - faire la lessive, probablement aussi la cuisine, le nettoyage et certains autres services professionnels. Un des fascos dit qu'ils avaient parlé aux propriétaires du domicile qui les ont abrité. Un autre lui répond par une question très instructive et plein de sens : "Collègue, qui cherche à pâtir ?". Sur l'enregistrement, le nom de famille de mes voisins d'en haut est clairement audible, mais, pour des raisons juridiques, je ne puis le révéler. Aussi l'ai-je atténué fortement et à cet endroit le son baisse subitement. Mais là où ça devient vraiment intéressant c'est lorsqu'un des imbéciles aborde la question du remplaçant du renvoyé. Un certain Ivan, dont on entend pour la première fois le prénom, nous informe, par mégarde, que ce serait un étudiant. Ses "collègues" imbéciles le font taire et un d'entre eux émet l'hypothèse fort improbable que je pourrais le mettre dehors - lui en particulier et pas tous les autres ! Face à la crainte exprimé par leur complice dans les crimes, les autres tentent de relativiser et de se rassurer mutuellement. C'est ici que la bombe éclate : "Il n'est pas à l'étranger !". Ceci veut dire : "En Bulgarie ce n'est pas comme dans le reste de l'EU. Peut-être qu'ailleurs ce serait possible, mais pas ici", faisant allusion ainsi à mon long séjour en France. Les fascistes merdeux narguent totalement le système judiciaire bulgare. A cette époque je n'avais pas encore déposé ma première plainte à leur encontre et le fait est que au bout de trois ans les flics ne les ont même pas retrouvé dans l'appart au-dessus de chez moi, alors qu'ils n'ont jamais quitté depuis. Voilà comment les criminels construisent leur sentiment d'impunité totale grâce à l'impuissance complète de l'Etat bulgare. Une des salopes demande ce que je pourrais bien leur dire et son collègue craintif ne trouve évidemment aucune réponse ! Ce sont des pauvres crétins lâches ! Finalement, je crois aussi que cela ne servirait à rien de leur dire quoi que ce soit, si je les chopais quelque part, je me contenterais bien de leur cogner la citrouille contre un pissoir jusqu'à le faire décrocher du mur ! Quel pitoyable maso il faut être pour rester planté pendant 4 ans, 24h/24h, au-dessus du logement d'un autre pour écouter sans cesse ses pensées, renonçant à une vie normale ? En croyant détruire ma vie privée, ils se privent volontiers du confort de la leur. Nous savions déjà ce que c'est sado-maso, avec ces débiles nous découvrons ce que c'est fasco-maso ! La discussion paraît tourner autour d'un gâteau d'anniversaire. Quelqu'un a fait venir une pâtissière et une invitée ce qui fait glisser progressivement la conversation vers le sujet délicat des filles. Les fascos imbéciles offrent apparemment leurs services en tant que videurs ou gardiens pour subvenir à leurs besoins. Il reste à savoir si ces petits boulots leur assurent la totalité de leurs revenus ou si quelqu'un les paie aussi pour espionner. Pour la première fois nous découvrons le prénom de Boncho. Ces fascos semblent vivre comme des vers intestinaux entassés les uns sur les autres, tellement ils sont nombreux ! Une certaine Katya Boyadzhieva est désignée pour diriger l'équipe de gardiens. L'un des garçons prie apparemment pour être intégré au groupe, mais on lui fait savoir, à la manière d'ados sexuellement frustrés, qu'il n'est pas désiré. Ecouter ces crétins, à longueur de journée, pourrait vous faire pousser des boutons juvénils !
      NOUVEAU         14.03.2011 - 17h06     (7 190 kB)
Une dernière petite amélioration du fichier son me permet de sortir une mise à jour qui corrige certaines erreurs sur la version précédente. Cette fois-ci, je ne commenterai pas en détail toutes les bêtises que les malades mentaux dans l'appart au-dessus de chez moi racontent pour épargner à tous des maux de tête ! Un des fascos annonce à un de ses "collègues", comme les sociopathes ont l'habitude de s'appeler entre eux, puisqu'ils s'imaginent leur activité criminelle comme celle d'une entreprise ordinaire, qu'il utilise les affaires d'Ivan, celui dont on avait entendu le prénom pour la première fois la minute précédente, à 17h05, lorsqu'il se faisait engueuler par ses compères pour avoir dévoilé que le remplaçant de Dimitar, qui a été renvoyé, sera un étudiant. Par l'intonation, nous devinons que l'annonce est en fait une question, ce qui nous est confirmé immédiatement après par une des camarades. Parmi de nombreuses répliques inutiles pour le grand public et qui ne peuvent intéresser que les spécialistes psychologues ou psychiatres, dont la forte activité alcoolique des suspects, subitement un garçon remarque que quelqu'un aurait arrêté de parler. C'est en fait le signal d'alarme que les fascistes qui m'espionnent viennent de se rendre compte que leur appareil ne capte plus rien en provenance de chez moi. Cela signifie d'abord qu'ils ne se seraient vraiment pas aperçu de mon départ à 17h02. Un autre fasco demande tout de suite si l'ordi chez eux marche et reçoit pour réponse que l'écran est allumé. Une fille demande si c'est en train d'enregistrer et presque simultanément un camarade réprimande : "Ne le dis pas !" La quasi simultanéité des deux dernières phrases indique soit que l'interdiction de ne pas prononcer(dire) quelque chose se rapporte à la révélation que l'ordinateur est lié d'une manière évidente à ma surveillance, soit au fait qu'il est supposé enregistrer en plus de capter et afficher mes pensées. Dans le second cas, la question est comment est-ce possible que le garçon ait deviné ce que la fille demandera pour la réprimander en même temps : aurait-il lu ses pensées sur l'écran allumé avant qu'elle ne les prononce à haute voix ? Pour l'instant, nous n'avons pas suffisamment de données sûres afin de pouvoir conclure. Les sociopathes utilisent le terme "parler" pour désigner des choses que je prononce clairement, par des notions distinctes, uniquement dans ma conscience et qu'ils sont en mesure de capter et répéter, comme nous l'avons illustré par le fragment audio de 17h02. Voici donc les éléments dont nous disposons à l'heure actuelle : les imbéciles au-dessus de chez moi ne se sont pas rendu compte de mon départ, même si un instant avant celui-ci l'un d'eux venait de répéter quelque mots qui m'avaient effleuré l'esprit, et que j'avais demandé ensuite haut et fort à ma mère de venir fermer la porte à clé derrière moi, ce qui est nettement audible sur mon enregistrement à 17h02. Ma caméra web était située alors à 7 mètres de la porte d'entrée, en ligne droite, à travers un angle droit formé par deux murs. Les apprentis espions prétendent que je "parle", néanmoins cela n'est enregistré par ma caméra que de façon exceptionnelle, et lorsque je ne "parle" pas, ils se permettent d'en rire en supposant que je puisse être mort, comme si j'étais supposé parler sans cesse, y compris lorsque je suis tout seul ! Mais lorsque je dois aller au toilettes, ils sont obligés de me suivre pour pouvoir me capter, ce qui signifie que leur appareil est mobile, connecté à un ordinateur et a une portée limitée. Cela ne peut avoir qu'une seule explication - c'est l'armature dans la dalle qui fait la différence et c'est donc non un signal sonore que ces débiles captent, mais un signale électromagnétique ! L'un des zombies fascistes se permet de lancer: "Qu'il repose en paix !", à mon égard à cause de mon "silence". Un autre rameute ses collègues en leur proposant de l'argent pour qu'ils obligent quelqu'un à travailler : "J'ai des sous, oblige le à bosser !". Juste après un type affirme qu'ils sont en train de chercher celui-ci aux toilettes. Le fait que les zombies fascistes se font payer pour leurs activités insensées trouve donc une nouvelle preuve. Ainsi, il semblerait que c'est l'un d'eux qui finance, du moins en partie, les autres et les pousse à s'exécuter. Il ne fait aucun doute qu'ils parlent de moi encore, car après avoir découvert leur présence dans l'appart au-dessus de chez moi et le fait qu'ils m'espionnaient, alors que j'avais quitté mon job pour écrire un livre, j'ai abandonné mon travail et renoncé à faire quoi que ce soit tant qu'on continue de violer de façon aussi insolente et avec un tel sentiment d'impunité mes droits à la vie privée. Il semblerait que les sociopathes ont cru non seulement pouvoir mettre la main basse sur ma vie privée et mon intimité en les dissolvant totalement dans l'espace public, mais en plus ils se croient capables de me dresser à la baguette en me faisant faire ce qui bon leur semble, y compris de m'obliger à travailler pendant qu'ils me surveillent à mon domicile à partir de l'appart au-dessus de chez moi. En même temps, pour eux c'est une manière de me provoquer afin de susciter une réaction de ma part et l'un d'eux s'en vante à haute voix : "Nous provoquons d'enfer !". Il se fait rappeler immédiatement à la raison : "Tais-toi qu'on puisse travailler !". Vous n'omettrez pas de remarquer, une fois de plus, qu'ils considèrent leur activité sociopathe et criminelle comme un travail salarié ordinaire. Dimitar, qui vient de se faire renvoyer, veut sans doute récupérer certaines affaires dont un ordi et la discussion tourne un petit moment autour du sort d'un iPOD et un ampli assorti avec. En Bulgarie, il est très répandu de dire "aïpod" puisque la majorité des gens ici est anglophone, mais les fascistes au-dessus de chez moi disent "ipod", comme le prononcent les français, ils seraient donc francophones, ce qui expliquerait pourquoi ils comprennent toujours ce que je pense même lorsque je réfléchis en français. Il est question d'un holster plus tard. Nous avions entendu parler d'une carabine la minute précédente à 17h05 et les fascos nous ont révélé faire des petits boulots ça et là en tant que videurs ou gardes afin de subvenir aux besoins de leur charmante communauté fasciste. Que c'est convivial ! L'un des péquenauds s'écrie imprudemment qu'on les aurait cherchés à Pirdop - une petite ville de 7 500 habitants à 80 km à l'Est de Sofia, la capitale de la Bulgarie. Un autre conclut logiquement qu'il ne s'agit pas de personnes de Varna - une grande ville au bord de la mer Noire, à 400 bornes de là. Une nouvelle fois ils mentionnent mon prénom en cherchant de toute évidence à provoquer ma réaction, puisqu'ils disent cette fois-ci que je me serait abruti, probablement à cause de mon insoutenable silence ! Oh, pauvres choux, ils ne peuvent plus se passer de moi en 2011 déjà et sont incapables de réaliser que je suis parti depuis 4 minutes ! Un autre accorde généreusement le manque de réactivité de ma part à mon silence. Hé, oui, je suis têtu ! Les fascistes doivent payer non seulement pour accomplir un travail donné, mais aussi pour leur matos fourni par une personne qui venait leur rendre visite certains dimanches en février afin de tester de nouveaux modèles, lorsque je n'enregistrais pas encore avec la caméra PC. Vu les résultats douteux, eu égard la situation à cet instant, l'un d'eux espère déjà que le second sera gratos. La question combien ils paient est naïvement posée par un de leurs camarades, travaillant pour moi sous couverture, mais reçoit une réponse tout aussi idiote : "Bien de boissons". Envoie dix cons pour faire ton travail et tu risques de devenir le onzième - adage chinois ! Avis aux amateurs. Pendant mon absence qu'ils semblent ignorer encore, les zombies ne cessent de parler de moi, tout en se soûlant. L'un d'eux aurait préparé une banitsa(pâte feuilletée bulgare) pour un autre et comme l'alcool monte vite à la tête de ces morveux, ils se mettent subitement à fantasmer sur moi : "Prenons Daniel chez nous !". En dehors de la note provocatrice, pour me faire réagir, il faut remarquer qu'ils considèrent de toute évidence l'appart des deux retraités au-dessus de chez moi comme leur domicile. Cela ne laisse absolument aucun doute sur le fait qu'ils habitent de façon permanente au-dessus de chez moi et ne rendent pas une simple visite à nos voisins pour seulement quelques jours. Les centaines de jours d'enregistrements dissiperont tout le reste !
Première publication : le
lundi, 28 avril 2014.
Mise à jour : le
lundi, 12 mai 2014.

Première publication : le
lundi, 26 mai 2014.
Mise à jour : le
lundi, 16 juin 2014.

Première publication : le
lundi, 30 mai 2014.
Mise à jour : le
lundi, 10 novembre 2014.