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Nous commençons à nouveau avec la question posée
par une fille
sur l'extrait audio précédent(
page
1). Elle demande des volontaires pour se faire accompagner
au-dehors. Un garçon lui répond que ce sera "Toni". Il
s'agit très probablement d'Antonya, la fille dont nous avions
découvert le prénom tout juste avant que la question ne
soit posée, sur l'extrait audio précédent. Juste
après, les sociopathes mentionnent un appareil qui
possède une connexion de filature qui devrait à mon avis
leur permettre de suivre à distance ce que je pense lorsque je
suis dehors, en envoyant des personnes me suivre à
l'extérieur lors de mes déplacements. Cela ne laisse
absolument aucun doute sur l'activité principale de ces enflures
fascistes. Comme j'ai toujours présumé que leurs gadgets
sont des téléphones portables ou smartphones
trafiqués, ils devraient posséder un abonnement pour
communiquer en groupe gratuitement, ce qui faciliterait
énormément leurs crimes et forfaits. Un fasco
décrit l'appareil à juste titre comme un
"cadeau-horreur", mais il ne devient pas clair si on vient de le lui
offrir ni si c'est la personne qui fête son anniversaire ce jour
- Boby (Boris?), ou bien si c'est juste un commentaire pour se faire
remarquer. Ils envoient donc
deux filles sur la route, mais sans préciser laquelle. Les
salopes connaissent bien leur métier ! Tandis que l'un des
camarades se plaint d'un surentraînement, nous découvrons
les prénoms d'encore deux pigeons - Alex et Yana, qui sont tous
les deux chez la demoiselle pendant que d'autres se crèvent le
bide à l'entraînement avec quelques bières. Et
juste après nous
apprenons la triste nouvelle qu'un certain Dimitar et renvoyé.
Non, je ne pleure pas sur son sort ! Cependant, quelqu'un d'autre le
fait et je me demande si ce n'est pas le type bourré qu'on
enjoint de ne pas vomir lors du trajet, car ils ne risquent pas de
s'arrêter. C'est sûr qu'ils trouverons plein d'autres
déchets comme lui. Apparemment, certains
déménagent et on leur signale que prendre avec eux dont
un banc de muscu qui explique pourquoi j'entends toujours
régulièrement des poids tomber sur la dalle au-dessus de
ma chambre - les déménageurs l'ont trouvé trop
"étroit" pour vouloir l'emporter et donc il reste.
Adrénaline, phéromones et bière, il n'en faut pas
plus pour que les têtes de fascos s'embrouillent et commencent
à se taper dessus. Une fille déclare la situation
critique pour leur Service. Ils parlent de leur activité comme
celle d'une entreprise avec des salariés qui se font renvoyer et
d'autres qu'on engage, avec une structure hiérarchique et divers
Services. Serait-ce un délire de jeunes boutonneux qui veulent
se la jouer comme des professionnels ou une vrai corporation dont un
des Services est destiné à l'espionnage et en particulier
à moi depuis déjà presque 4 ans ? Tandis que
certains essaient de calmer les ardeurs en rappelant qu'il ne faut pas
se battre ici - le lieu semble sacré tout de même,
d'autres sont beaucoup plus pragmatiques et tout en ignorant
complètement l'altercation se posent des questions
existentielles concernant le sort du thermostat. Hé oui, on
s'habitue aux affaires des autres, lorsqu'on vit en collocation, comme
à ses propres affaires, après les avoir utilisées
régulièrement !
Quelques heures avant de mettre à jour ce fichier, une voisine
que j'ai croisée dans l'ascenseur m'a subitement
déclaré que cela faisait longtemps que personne ne
l'avait questionnée à propos de moi. Je lui ai
demandé qui avait cherché des infos sur moi, elle m'a
répondu que c'étaient des "tantines" qui lui auraient
avoué de m'avoir suivi parce que j'avais les cheveux longs et
pour demander qui j'étais et ce que je faisais. Je me suis
laissé pousser les cheveux depuis le mois d'avril 2011, en
réaction à la fascisation totale de ma vie privée
pendant déjà 4 ans, donc c'est quelque chose qui a
dû se produire voici deux ans, lorsque mes cheveux étaient
devenus suffisamment longs. Un quart de siècle après la
chute du régime en Bulgarie, les gens continuent d'avoir des
réflexes totalitaires fascisants ce qui révèle la
présence d'un problème très grave de santé
mentale chez une population assez large de la nation bulgare et qui
n'est absolument pas pris en charge par les autorités sanitaires
du pays. Cette partie de l'enregistrement est de qualité
médiocre,
car la plupart du temps les zombies marmonnent tout bas et ce
n'est que par moments qu'ils s'écrient un peu plus fort. Le son
a été considérablement amplifié et il faut
penser à réduire le volume à environ 50% pour
entendre correctement, ensuite il faut réajuster le niveau
sonore et
réécouter plusieurs fois pour entendre certaines
répliques. Après avoir annoncé le renvoi de
Dimitar, ses camarades l'incitent à se dépêcher en
emportant ses affaires. Le pauvre diable se plaint qu'on veut le faire
partir sans culottes. Antonia est désignée pour chercher
quelque chose avec un certain Zhoro qui l'appelle
coéquipière ou cogérante - le contexte ne permet
pas d'en juger. Pour la première fois, nous apprenons le nom et
le prénom d'un des nigauds au domicile au-dessus de chez moi -
un certain Dobri Penchev. Un des fascos veut se rappeler à ce
propos où ils gardent la carabine. Il faut croire qu'ils ont des
raisons sérieuses d'être armés et ce n'est
certainement pas le couple de retraités,
propriétaires de l'appart, qui leur fait peur. A défaut
d'avoir des qualités louables, ces minables se vantent de
transformer leur habitat en un lieu de perversion et d'avoir battu le
chat dont m'avaient parlé les vieux d'en haut. Une nana rappelle
pourquoi les filles sont là - faire la lessive, probablement
aussi la cuisine, le nettoyage et certains autres services
professionnels. Un des fascos dit qu'ils avaient parlé aux
propriétaires du domicile qui les ont abrité. Un autre
lui répond par une question très instructive et plein de
sens : "Collègue, qui cherche à pâtir ?". Sur
l'enregistrement, le nom de famille de mes voisins d'en haut est
clairement audible, mais, pour des raisons juridiques, je ne puis le
révéler. Aussi l'ai-je atténué fortement
et à cet endroit le son baisse subitement. Mais là
où ça devient vraiment intéressant c'est
lorsqu'un des imbéciles aborde la question du remplaçant
du renvoyé. Un certain Ivan, dont on entend pour la
première fois le prénom, nous informe, par
mégarde, que ce serait un étudiant. Ses
"collègues" imbéciles le font taire et un d'entre eux
émet l'hypothèse fort improbable que je pourrais le
mettre dehors - lui en particulier et pas tous les autres ! Face
à la crainte exprimé par leur complice dans les crimes,
les autres tentent de relativiser et de se rassurer mutuellement. C'est
ici que la bombe éclate : "Il n'est pas à
l'étranger !". Ceci veut dire : "En Bulgarie ce n'est pas comme
dans le reste de l'EU. Peut-être qu'ailleurs ce serait possible,
mais pas ici", faisant allusion ainsi à mon long séjour
en France. Les fascistes merdeux narguent totalement le
système judiciaire bulgare. A cette époque je
n'avais pas encore déposé ma première plainte
à leur encontre et le fait est que au bout de trois ans les
flics ne les ont même pas retrouvé dans l'appart au-dessus
de chez moi, alors qu'ils n'ont jamais quitté depuis.
Voilà comment les criminels construisent leur sentiment
d'impunité totale grâce à l'impuissance
complète de l'Etat bulgare. Une des salopes demande ce que je
pourrais bien leur dire et son collègue craintif ne trouve
évidemment aucune réponse ! Ce sont des pauvres
crétins lâches ! Finalement, je crois aussi que cela ne
servirait à rien de leur dire quoi que ce soit, si je les
chopais quelque part, je me contenterais bien de leur cogner la
citrouille contre un pissoir jusqu'à le faire décrocher
du mur ! Quel pitoyable maso il faut être pour rester
planté pendant 4 ans, 24h/24h, au-dessus du logement d'un autre
pour écouter sans cesse ses pensées, renonçant
à une vie normale ? En croyant détruire ma vie
privée, ils se privent volontiers du confort de la leur. Nous
savions déjà ce que c'est sado-maso, avec ces
débiles nous découvrons ce que c'est fasco-maso ! La
discussion paraît tourner autour d'un gâteau
d'anniversaire. Quelqu'un a fait venir une pâtissière
et une invitée ce qui fait glisser progressivement la
conversation vers le sujet délicat des
filles. Les fascos imbéciles offrent apparemment leurs services
en tant que videurs ou gardiens pour subvenir à leurs besoins.
Il reste à savoir si ces petits boulots leur assurent la
totalité de leurs revenus ou si quelqu'un les paie aussi pour
espionner. Pour la première fois nous découvrons le
prénom de Boncho. Ces fascos semblent vivre comme des vers
intestinaux entassés les uns sur les autres, tellement ils sont
nombreux ! Une certaine Katya Boyadzhieva est désignée
pour diriger l'équipe de gardiens. L'un des garçons prie
apparemment pour être intégré au groupe, mais on
lui fait savoir, à la manière d'ados sexuellement
frustrés, qu'il n'est pas désiré. Ecouter ces
crétins, à longueur de journée, pourrait vous
faire pousser des boutons juvénils !
Une dernière petite amélioration du fichier son me permet
de
sortir une
mise à jour qui corrige certaines erreurs sur la version
précédente. Cette fois-ci, je ne commenterai pas en
détail toutes les bêtises que les malades mentaux dans
l'appart au-dessus de chez moi racontent pour épargner à
tous des maux de tête ! Un des fascos annonce à un de ses
"collègues", comme les sociopathes ont l'habitude de
s'appeler entre eux, puisqu'ils s'imaginent leur activité
criminelle comme celle d'une entreprise ordinaire, qu'il utilise les
affaires d'Ivan, celui dont on avait entendu le prénom pour la
première fois la minute précédente, à
17h05, lorsqu'il se faisait engueuler par ses compères pour
avoir
dévoilé que le remplaçant de Dimitar, qui a
été renvoyé, sera un étudiant. Par
l'intonation, nous devinons que l'annonce est en fait une question,
ce qui nous est confirmé immédiatement après par
une des camarades. Parmi de nombreuses répliques inutiles pour
le grand public et qui ne peuvent intéresser que les
spécialistes psychologues ou psychiatres, dont la forte
activité alcoolique des suspects, subitement un garçon
remarque que quelqu'un aurait arrêté de parler. C'est en
fait le signal d'alarme que les fascistes qui m'espionnent viennent
de se rendre compte que leur appareil ne capte plus rien en provenance
de chez moi. Cela signifie d'abord qu'ils ne se seraient vraiment pas
aperçu de mon départ à 17h02. Un autre fasco
demande tout de suite si l'ordi chez eux marche et reçoit pour
réponse que l'écran est allumé. Une fille demande
si c'est en train d'enregistrer et presque simultanément un
camarade réprimande : "Ne le dis pas !" La quasi
simultanéité des deux dernières phrases
indique soit que l'interdiction de ne pas prononcer(dire) quelque chose
se rapporte à la révélation que l'ordinateur est
lié d'une manière évidente à ma
surveillance, soit au fait qu'il est supposé enregistrer en plus
de capter et afficher mes pensées. Dans le second cas, la
question est comment est-ce possible que le garçon ait
deviné ce que la fille demandera pour la réprimander en
même temps : aurait-il lu ses pensées sur l'écran
allumé avant qu'elle ne les prononce à haute voix ? Pour
l'instant, nous n'avons pas suffisamment de données sûres
afin de pouvoir conclure. Les sociopathes utilisent le terme "parler"
pour désigner des choses que je prononce clairement, par des
notions distinctes, uniquement dans ma conscience et qu'ils sont en
mesure de
capter et répéter, comme nous l'avons illustré
par le fragment audio de 17h02. Voici donc les éléments
dont nous disposons à l'heure actuelle : les imbéciles
au-dessus de chez moi ne se sont pas rendu compte de mon départ,
même si un instant avant celui-ci l'un d'eux venait de
répéter quelque mots qui m'avaient effleuré
l'esprit, et que j'avais demandé ensuite haut et fort à
ma mère de venir fermer la porte à clé
derrière moi, ce qui est nettement audible sur mon
enregistrement à 17h02. Ma caméra web était
située alors à 7 mètres de la porte
d'entrée, en ligne droite, à travers un angle droit
formé par deux murs. Les apprentis espions prétendent
que je "parle", néanmoins cela n'est enregistré
par ma caméra que de façon exceptionnelle, et lorsque je
ne "parle" pas, ils se permettent
d'en rire en supposant que je puisse être mort, comme si
j'étais supposé parler sans cesse, y compris lorsque je
suis tout seul ! Mais lorsque
je dois aller au toilettes, ils sont obligés de me suivre pour
pouvoir me capter, ce qui signifie que leur appareil est mobile,
connecté à un ordinateur et a une
portée limitée. Cela ne peut avoir qu'une seule
explication - c'est l'armature dans la dalle qui fait la
différence et c'est donc non un signal sonore que ces
débiles captent, mais un signale
électromagnétique ! L'un des zombies fascistes se permet
de lancer: "Qu'il repose en paix !", à mon égard à
cause de mon "silence". Un autre rameute ses collègues en leur
proposant de l'argent pour qu'ils obligent quelqu'un à
travailler : "J'ai des sous, oblige le à bosser !". Juste
après un type affirme qu'ils sont en train de chercher
celui-ci aux toilettes. Le fait que les zombies fascistes se font payer
pour leurs activités insensées trouve donc une nouvelle
preuve. Ainsi, il semblerait que c'est l'un d'eux qui finance, du moins
en partie, les autres et les pousse à s'exécuter. Il ne
fait aucun doute qu'ils parlent de moi encore, car après avoir
découvert leur présence dans l'appart au-dessus de chez
moi et le fait qu'ils m'espionnaient, alors que j'avais quitté
mon job pour écrire un livre, j'ai abandonné mon travail
et renoncé à faire quoi que ce soit tant qu'on continue
de violer de façon aussi insolente et avec un tel sentiment
d'impunité mes droits à la vie privée. Il
semblerait que les sociopathes ont cru non seulement pouvoir mettre la
main basse sur ma vie privée et mon intimité en les
dissolvant totalement
dans l'espace public, mais en plus ils se croient capables de me
dresser à la baguette en me faisant faire ce qui bon leur
semble, y compris de m'obliger à travailler pendant qu'ils me
surveillent
à mon domicile à partir de l'appart au-dessus de chez
moi. En
même temps, pour eux c'est une manière de me provoquer
afin de susciter une réaction de ma part
et l'un d'eux s'en vante à haute voix : "Nous provoquons
d'enfer !". Il se fait rappeler immédiatement à la
raison : "Tais-toi qu'on puisse travailler !". Vous n'omettrez pas
de remarquer, une fois de plus, qu'ils considèrent leur
activité sociopathe et criminelle comme un travail
salarié ordinaire. Dimitar, qui vient de se faire renvoyer,
veut sans doute récupérer certaines affaires dont un
ordi et la discussion tourne un petit moment autour du sort d'un
iPOD et un ampli assorti avec. En Bulgarie, il est très
répandu de dire "aïpod" puisque la majorité des gens
ici est anglophone, mais les fascistes au-dessus de chez moi disent
"ipod", comme le prononcent les français, ils seraient donc
francophones, ce qui expliquerait pourquoi ils comprennent toujours ce
que je pense même lorsque je réfléchis en
français. Il est question d'un holster plus tard. Nous avions
entendu parler d'une carabine la minute précédente
à 17h05 et les fascos nous ont révélé faire
des petits boulots ça et là en tant que videurs ou gardes
afin de
subvenir aux besoins de leur charmante communauté fasciste. Que
c'est convivial ! L'un des péquenauds s'écrie
imprudemment qu'on les aurait cherchés à Pirdop - une
petite ville de 7 500 habitants à 80 km à l'Est de Sofia,
la capitale de la Bulgarie. Un autre conclut logiquement qu'il ne
s'agit pas de personnes de Varna - une grande ville au bord de la mer
Noire, à 400 bornes de là. Une nouvelle fois ils
mentionnent mon prénom en cherchant de toute évidence
à provoquer ma réaction, puisqu'ils disent cette fois-ci
que je me serait abruti, probablement à cause de mon
insoutenable silence ! Oh, pauvres choux, ils ne peuvent plus se passer
de moi en 2011 déjà et sont incapables de réaliser
que je suis parti depuis 4 minutes ! Un autre accorde
généreusement le manque de
réactivité de ma part à mon silence. Hé,
oui, je suis têtu ! Les fascistes doivent payer non seulement
pour accomplir un travail donné, mais aussi pour leur matos
fourni par une personne qui venait leur rendre visite certains
dimanches en février afin de tester de nouveaux modèles,
lorsque
je n'enregistrais pas encore avec la caméra PC. Vu les
résultats douteux, eu égard la situation à cet
instant, l'un d'eux espère déjà que le second sera
gratos. La
question combien ils paient est
naïvement posée par un de leurs camarades, travaillant pour
moi sous couverture, mais
reçoit une réponse tout aussi idiote : "Bien de
boissons". Envoie dix cons pour faire ton travail et tu risques de
devenir le onzième - adage chinois ! Avis aux amateurs. Pendant
mon absence qu'ils semblent ignorer encore, les
zombies ne cessent de parler de moi, tout en se soûlant.
L'un d'eux aurait préparé une banitsa(pâte
feuilletée bulgare) pour un autre et comme l'alcool monte vite
à la tête de ces morveux, ils se mettent subitement
à fantasmer sur moi : "Prenons Daniel chez nous !". En dehors de
la note provocatrice, pour me faire réagir, il faut remarquer
qu'ils considèrent de toute évidence l'appart des deux
retraités
au-dessus de chez moi comme leur domicile. Cela ne laisse absolument
aucun doute sur le fait qu'ils habitent de façon permanente
au-dessus de chez moi et ne rendent pas une simple visite à nos
voisins pour seulement quelques jours. Les centaines de jours
d'enregistrements dissiperont tout le reste !