Enregistrements audio de sociopathes
qui jouent les apprentis espions.

par Daniel Milev

Dernière mise à jour : le 7 avril 2014.

Ceci est une page d'enregistrements audio des personnes qui m'espionnent, en Bulgarie, à partir de l'appartement au-dessus de chez moi, dans le cadre d'un harcèlement en réseau dans la vie privée - "gang stalking". Les enregistrements sont en langue bulgare, avec des sous-titres en français et en bulgare, incorporés dans un conteneur vidéo. Les sociopathes se placent toujours au-dessus de moi dans toutes les pièces où je me trouve ce qui devrait être lié à la technique d'espionnage et à la portée de leur appareil. Ils me suivent ainsi comme des obsédés depuis trois ans et demi, 24h/24h, afin de ne rien louper de ce que je pense à tout moment à mon domicile, ce qui révèle assez clairement la présence d'une pathologie grave dans leur comportement. Pour en savoir davantage, lisez l'article afférent. La publication a des objectifs multiples - dans un premier temps, informer le plus grand nombre de gens sur les problèmes d'intrusion dans la vie privée et l'existence de pratiques fascisantes dans les sociétés démocratiques des pays les plus développés. Dans un second temps, tenter de porter une réflexion approfondie et scientifique sur le comportement extrêmement dangereux des personnes impliquées dans lе harcèlement de la vie privée. Et dans un troisième temps, après avoir clairement défini le degré de menace pour les sociétés démocratiques que de telles pratiques honteuses représentent, chercher des solutions pour les abolir et éviter qu'elles ne réapparaissent plus jamais. Le style des commentaires personnels que je fais sur chaque enregistrement est volontairement satirique, car, étant conscient qu'il s'agit d'un phénomène négatif pour la société, c'est sans doute la meilleure manière de le stigmatiser. Les enregistrements audio sont présentés, après amélioration du rapport voix/bruits, à la disposition des spécialistes psychiatres, psychanalystes, psychologues, sociologues, juristes, journalistes et tout citoyen qui souhaite se faire un avis honnête sur cette question primordiale.


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Ci-dessous, le tout premier enregistrement que j'ai effectué. Il a une valeur très particulière pour moi, non seulement parce qu'il m'était longtemps impossible de comprendre son contenu, le son étant trop bas, mais surtout à cause de ce que j'allais y découvrir, une fois après avoir réussi, tant bien que mal, à surmonter l'obstacle. Ce n'est que tout récemment que j'ai réalisé cet exploit et si la qualité laisse encore beaucoup à désirer, le contenu est fort intéressant. L'enregistrement original fait 1h36min. Il est découpé en petits fragments d'une minute ou moins chacun qui sont intégrés à une vidéo avec des sous-titres pour faciliter la compréhension. Une mise à jour complète des fichiers est à venir et les fichiers anciens sont déjà retirés puisqu'ils comportaient bien d'erreurs qui seront rectifiées, et les omissions complétées. La particularité, en plus du fait que c'est le tout premier enregistrement, réside dans la manière dont j'ai réussi à faire le vide dans ma conscience en évitant de penser que je dois sortir et à filer dehors en douce, sans que les camarades qui me surveillent depuis l'appartement au-dessus de chez nous s'en rendent compte apparemment, à moins qu'ils n'aient décidé de faire semblant avant que je n'entame la prise du son. Je laisse à vous de juger.


ENREGISTREMENTS du lundi, 14 mars 2011
Téléchargement(compressé sous Xvid)
C'est la toute première prise de son des voix des fascistes qui m'espionnent et le tout premier mot qu'une des imbéciles prononce est "Picanthrope". Les camarades viennent en effet de terminer un jeu aux cartes et les filles, victorieuses, se moquent d'un des mecs. Hé oui, ce n'est pas parce que quelqu'un manipule une technologie pour scanner des pensées à distance, à partir d'un appartement voisin en l'occurrence, que c'est une personne versée en sciences ou qui a au moins bien réussi ses études secondaires. Car si c'avait été le cas, elle saurait que l'on dit et écrit "Pithécanthrope", du gr. "pithec"(singe). Mais peut-être est-ce bien la preuve que parmi nous habite déjà une nouvelle espèce - le "Picanthrope" de la technologie moderne ou encore ce que des scientifiques sud coréens avaient récemment appelé des "imbéciles digitaux" qui passent des heures entières tous les jours penchés sur leur smartphone ou autre bijou de la communication moderne. Ces idiots ont renoncé à réfléchir par eux-mêmes et passent toute leur journée et la nuit à suivre mes propres pensées, à mon domicile - dans ma chambre, dans la cuisine, dans la salle de bain, partout où je me promène chez moi, ils me suivent sans cesse en marchant au-dessus de moi dans l'appartement de nos voisins d'en haut. La discussion entre fascistes tourne au vinaigre, car l'un d'eux, incapable de maîtriser ses frustrations, pète les plombs et ce n'est pas seulement le torchon qui brûle, mais des chaussettes russes entières apparemment ! La réaction de ses camarades ne se fait pas attendre : "On ne supportera et on ne soutiendra pas un hooligan ici !" Waou, j'ai comme l'impression qu'ils sont vachement à cheval sur les principes, la morale et la loi ces types, enfin, seulement lorsque cela touche leurs propres droits ! Après, les camarades se mettent à chercher subitement quelqu'un qu'ils appellent "celui-là"(coucou, c'est moi !) et certains d'entre eux s'apprêtent à sortir, entre autres choses pour acheter des clopes. Curieusement, je me prépare pour sortir moi aussi en ramassant quelques pièces de monnaie sur une table en verre - le bruit des pièces c'est moi ! C'est ici la première fois que nous apprenons le prénom d'une des camarades - Vyara dont le diminutif est Verché. Notre jeunesse du comsomol agraire enthousiasmée apprend à maîtriser les langues de nos ennemis d'Occident ! And they really do it !
L'enregistrement débute avec une reprise de la dernière phrase du précédent afin de montrer la continuité entre les deux et pour la clarté des commentaires que je fais ci-après. La première insulte semble être destinée au garçon qui s'écrie : "Lets do it something !" ou alors c'est pour ma poire. La phrase en anglais me fait réagir dans mes pensées, mais les fascistes ne semblent point se préoccuper de moi pour l'instant. C'est là qu'on apprend le surnom et le prénom d'un autre camarade du comsomol agraire - Plamen qui est surnommé, dieu même ne sait pourquoi, Gregon ou du moins c'est ce que j'arrive à distinguer. Il s'en serait allé et les autres semblent se préparer à dîner, car quelqu'un désigne le poisson provenant d'un "pavillon à poisson". Ce n'est qu'après qu'ils s'intéressent enfin à moi : "Le débile fait des commentaires." Hé, oui, il arrive même à faire des phrases entières, mais le problème n'est pas là. Le problème c'est que la caméra n'enregistre strictement aucun commentaire, je ne suis tout simplement pas en train de parler ! Dans le cas contraire elle aurait capté ma voix, puisque à ce moment je suis en train de me préparer à quitter ma chambre pour sortir au dehors. J'essaie d'éviter de dénoncer mes intentions dans ma conscience. Sous peu vous allez comprendre comment leur appareil fonctionne exactement, jamais je n'aurais imaginé pouvoir réussir cet exploit du premier coup d'enregistrement. Ils m'appellent débile sans doute parce que je venais de me moquer d'eux juste avant dans mes pensées à cause du gars qui s'est égosillé en anglais. Cela révèle parfaitement aussi le schéma suivant lequel les fascistes procèdent avec leurs victimes - ils utilisent une technologie dont l'existence et l'usage sont jalousement gardés en secret depuis plus de 20 ans déjà et ils en profitent pour faire passer aux yeux de tous leurs cibles pour des "fous", des "débiles dangereux", etc. Le harcèlement moral, en insultant constamment leurs victimes, fait intégralement partie de ce schéma visant à détruire ainsi la santé mentale, à briser toute volonté de résistance, chez le sujet ciblé. Juste après la remarque désobligeante, un autre garçon dit : "Il parle, mais lentement", alors qu'il est tout à fait évident que je ne suis absolument pas en train de parler. En vérité, j'entendais les enfoirés dire cela et pour moi des doutes en ce qui concerne la technique d'espionnage commençaient à se former. Je connaissais le scanner de pensées depuis l'époque où l'on l'avait utilisé sur moi en France, mais je n'avais pas encore des preuves que c'est justement de cela qu'il s'agissait ici. Lorsque j'ai déposé ma première plainte à la Procuratie, j'avais émis l'hypothèse que mon appartement était observé probablement par des techniques de visualisation et d'écoute, n'ayant pas de preuves. A cette époque, je parlais souvent à voix basse, sauf lorsque j'enregistrais, afin de provoquer les fascistes et m'assurer constamment non seulement qu'ils étaient toujours présents dans l'appartement au-dessus, mais qu'ils s'occupaient à m'espionner, à suivre mes gestes, à commenter ce que je marmonnais. Ils se gardaient souvent de répéter mes pensées de sorte à ce que je les entende pour me cacher ce qu'ils faisaient réellement et même si je les attrapais quand même à le faire, le doute était toujours possible - aurais-je mal entendu à travers la dalle, ne serais-je pas en train de prendre mes peurs pour la réalité ? Il me fallait l'enregistrer et encore fallait-il pouvoir filtrer le son suffisamment bien pour pouvoir l'entendre correctement, ce que je n'ai réussi à accomplir que très récemment. Alors, je prends conscience que la technique est probablement un scan de pensées, mais je ne le formule pas par des mots, seulement en idées vagues, ce qui a probablement provoqué la capture de quelques syllabes par l'appareil, d'où l'impression de l'espion que je "parle lentement". Je me souviens d'avoir prononcé dans ma conscience tout juste : "C'est tôt", car je ne tenais pas encore ma preuve et que je voulais cacher à mon tour aux fascistes mon intention de les amener à dévoiler leur technique au moment de les enregistrer en faisant semblant de ne pas croire qu'ils puissent être en possession d'un tel appareil. Tout de suite après, un des fascos répète à mi-voix mes pensées, exactement comme je les avais formulées dans ma conscience, et que vous pouvez découvrir dans la traduction de l'enregistrement - en bulgare ça se prononce "Ràno é". Ce n'est pas moi qui le prononce, mais bel et bien un des imbéciles dans l'appartement au-dessus de chez moi qui se prennent sans doute pour des héros d'un film d'espions, complètement hors du contexte de ce qui a été dit par ses confrères d'esprit et de sort. Donc, leur appareil ne permet pas de capter des idées abstraites qui sont le plus souvent en images dans la conscience des gens et même si vous avez une idée précise de ce à quoi vous pensez, il n'y a aucun moyen pour un appareil de le capter, puisque c'est toujours très individuel pour chacun, dépendant de son propre vécu. Cependant, du moment où vous accordez une notion à une idée dans votre conscience, c'est-à-dire que vous formiez mentalement des sons, peu importe si ce sont des notions du vocabulaire de votre langue natale ou de langues étrangères, voire des mots complètement inventés par vous-mêmes, leur appareil les capte et les personnes scannant vos pensées peuvent les reproduire oralement comme vous les prononcez dans votre conscience, sans pouvoir mettre l'accent là où vous le placeriez, comme s'ils lisaient un texte. Après, les apprentis espions échangent juste quelques phrases concernant quelque chose qu'ils sont en train de bricoler sans doute, car une fille demande un tournevis.
Dès le départ, nous apprenons le prénom d'encore un camarade - Pétyo(le diminutif de Petar ou Petko). Les phrases suivantes, échangées entre les fascistes en herbe, ne laissent strictement aucun doute sur le fait qu'ils m'espionnent depuis l'appartement au-dessus de chez moi. D'abord, un d'entre eux demande où je suis en me désignant par mon prénom - Daniel, et ensuite un autre affirme avoir entendu la porte "en bas", c'est-à-dire celle de mon domicile. Cette dernière remarque est basée sur une fausse impression, car si je suis véritablement en train de me préparer à quitter mon domicile, je ne suis même pas encore arrivé jusqu'à la porte extérieure. A ce moment précis, je dois être déjà sorti de ma chambre dans le couloir qui mène à la porte d'entrée et être en train de mettre mes chaussures et ma veste. L'ouverture de la porte est  bel et bien enregistrée par ma caméra PC, mais ne survient que 20 sec. plus tard. Une fois de plus, cela prouve que les apprentis espions ne possèdent aucun moyen de visualisation direct de l'intérieur de mon domicile, et ne peuvent s'appuyer que sur leur propre ouïe, ainsi que sur le scanner de pensées pour interpréter ce que je fais ou ce que j'ai l'intention de faire. Comme je suis arrivé à créer presqu'entièrement le vide dans ma tête, chose très difficile pour moi, car j'ai l'habitude de prononcer dans ma conscience presque toutes les idées qui me traversent la tête, ce qui me transforme en un excellent cobaye pour une étude du cerveau, les zombies obnubilés par la magnificence de mon bel esprit ne semblent pas tout à fait se rendre compte que je suis en train de leur filer en douce entre les doigts. Et voilà qu'ils se prennent à rêver que j'aurais pu mourir entre temps, ce qui confirme que je suis arrivé à bien me cacher. Je m'en souviens parfaitement bien, car c'était mon tout premier enregistrement et que mon intention était de les priver de la loquacité de ma conscience pour vérifier comment arriveront-ils à se débrouiller dans ce cas. Un des ploucs dans l'appartement au-dessus se vante d'avoir commis l'exploit de frapper quelqu'un en premier. Allons, camarade, ce n'est pas bien du tout ce que tu as fait ! Tu tiens vraiment à ce que le Parti ne t'engage plus que pour les opérations de coups fourrés ? Le lèche-bottes de service trouve tout de même que l'agissement de son camarade était futé. Tout ceci pour un divan poussé à l'extérieur d'une pièce probablement. On se demande ce qu'il ferait si on poussait son moskvitch qui ne démarre pas ? Le plus intéressant de cet enregistrement arrive. Cette fois, je suis enfin prêt pour sortir et je m'approche de la porte d'entrée. Je ne peut m'empêcher de penser à l'endroit où je dois me rendre pour faire les courses. Il y a un restaurant, bien connu, au nom italien là-bas dont je n'arrive pas à me rappeler le nom à ce moment. Je sais qu'il commence par un "La...", mais je ne souhaite pas trahir à quoi je pense exactement, je vois très bien l'endroit, cependant je ne veux pas prononcer le nom dans ma conscience, car je soupçonne que cela révélera mon intention aux inconnus dans l'appartement de nos voisins au-dessus de chez moi qui m'espionnent. Alors, de façon tout à fait spontanée, je laisse échapper le "La..." dans ma conscience et je le complète par un mot inventé à la consonance italienne ou espagnole "...vintcha". Je suis sur le point d'attraper le manche de la porte pour l'ouvrir lorsque j'entends un des couillons en haut me rendre un service inestimable en répétant littéralement ce qui vient de me traverser l'esprit : "La vintcha". Ce n'est pas moi qui le dit, mais bel et bien une autre personne dans l'appartement au-dessus et cela est tombé vraiment à pic, car en ouvrant la porte je dis à ma mère de venir fermer la porte à clé, ce qui ne semble susciter strictement aucun commentaire de la part des camarades en haut. Ils ont dû être distraits par autre chose. Les deux voix(la mienne et celle du gars répétant mes pensées) peuvent être comparées et analysées - cela ne fera que confirmer qu'il s'agit de deux personnes différentes. Il faut savoir que ma caméra PC se situe à ce moment à près de 4 mètres en ligne droite de la porte d'entrée et les espions morveux doivent être à une distance similaire. Voilà qui confirme une nouvelle fois, en l'espace de seulement une minute, que la technique utilisée pour surveiller mon domicile et ma vie privée est un scan(une lecture) de pensées à travers la dalle et les murs. Vous pouvez essayer d'imaginer le degré d'invasion dans ma vie intime lorsque je vous dis que cela continue déjà depuis plus de trois ans, 24h/24h. Vous pouvez essayer d'imaginer l'acharnement contre ma vie personnelle et mes droits que cela représente. Néanmoins, cet enregistrement montre également qu'il y a des moyens pour échapper par moments à la surveillance de ce genre, bien particulier, d'obsédés. Ma mère ne semble pas avoir bien entendu ce que je lui ai dit puisqu'elle me demande si l'on avait sonné et je profite de l'occasion pour faire diversion en répondant que oui. En même temps, je m'éclipse dehors et le claquement de la porte, ainsi que le tour de la clé, sont clairement captés sur l'enregistrement. Par la suite, les apprentis espions continuent de discuter entre eux sans faire aucun commentaire sur ma sortie, comme s'ils ne l'avaient pas du tout remarquée. A mon avis, le fait d'avoir fait le vide dans ma conscience a amené les camarades à me surveiller par intermittence, car ils savaient qu'ils ne recevraient pas un signal de moi constamment. Ils se sont contentés de jeter un coup d'œil entre quelques répliques parmi eux. Ils se doutaient que je devais sortir, car je pars tous les jours pour faire les courses, ce qui explique pourquoi l'un d'eux anticipe mon départ en prétendant avoir entendu la porte "en bas", mais ils loupent complètement ma sortie véritable juste après avoir capté "La vintcha" que j'avais prononcé dans ma conscience, ce qui les amènera à me chercher de nouveau quelques minutes plus tard. Une autre possibilité consiste à admettre que les personnes qui sont sorties deux minutes avant moi sous prétexte d'aller acheter des cigarettes, parmi lesquelles se trouve Vyara, sont allées en réalité se positionner dehors pour me suivre lors de mon déplacement. Ainsi, ceux qui restent dans l'appartement au-dessus feraient semblant de ne pas se rendre compte où je suis afin de couvrir l'activité de leurs compères à l'extérieur. Je laisse à chacun de se faire son propre avis là-dessus. Le reste de la conversation se rapporte à des choses sans grand intérêt pour un non spécialiste, mais c'est une véritable mine d'or pour les sociologues et autres experts, notamment en psychologie. Après les prénoms de Vyara et Plamen, qui sont sortis dehors, ainsi que de Pétïo, nous apprenons celui d'Angel. Cela fait bien de personnes et nous recevons une confirmation de ce fait lorsqu'à la fin de ce fragment de l'enregistrement l'un d'eux demande si un trio de personnes doit se réunir.
      NOUVEAU         14.03.2011 - 17h03     (5 570 kB)
Cet enregistrement reprend la dernière question du précédent pour illustrer la continuité immédiate entre les deux. Les camarades adorent s'insulter mutuellement, on ne va surtout pas les en empêcher, après tout c'est peut être le seul moment où ils disent la vérité ! Une fille ordonne, d'une voix autoritaire, à un autre d'apporter ses affaires. L'un des fascos reconnaît à haute voix cette autorité en déclarant : "Les paroles prononcées avec pouvoir". Cela paraît être presque une citation, mais je n'arrive pas à me souvenir d'où exactement. Entre le 1 janvier 2011 et le 9 février 2011, je travaillais encore sur un projet de livre qui explorait justement le thème du pouvoir, cependant, même si j'abordais effectivement le sujet du pouvoir des mots, je n'avais jamais écris cela, ou du moins je ne lai pas encore trouvé dans mes notes que j'ai consultées. J'avais abandonné mon projet à cause des fascistes qui m'espionnaient depuis l'appartement au-dessus du mien, car je m'étais rendu compte qu'ils avaient un accès total à mon travail intellectuel et que je voulais préserver. Je ne l'achèverai qu'une fois après m'être débarrassé de ses salopards pour de bon. Néanmoins, de nombreux ouvrages de science fiction et de fantaisie abordent le thème du pouvoir des paroles et il se peut que ce ne sois pas une référence volontaire à mes propres réflexions sur le sujet de la part des imbéciles qui m'espionnent, mais seulement une citation d'une œuvre déjà parue. Une voix timoré, à peine audible, mentionne Dimo dont on découvre le prénom ici pour la première fois et il semblerait que ses camarades ne l'apprécient pas beaucoup, car ils se rassurent mutuellement déjà qu'ils ne le prendront pas, ce qui devrait signifier qu'ils ne souhaitent pas l'intégrer définitivement à leur groupe et qu'il n'a qu'un statut temporaire parmi eux. La présentation de nos personnages continue sans tarder avec Sylvia qui est mentionnée en rapport avec "douze jerricanes" pour le mois en cours - mars 2011. Nous ignorons complètement si les jerricanes en question sont remplies et de quoi - d'essence ou d'eau de vie (chose courante en Bulgarie). La remarque, laissée sans suite, ne permet pas de conclure non plus s'il s'agit d'une norme mensuelle, d'une participation à l'effort du groupe fasciste pour subvenir à ses besoins, de la provenance de ce matériel et de l'usage qu'on en fera. C'est l'armée des douze jerricanes ou quoi ? Encore un nom, cette fois d'une de leurs connaissances qui aurait eu un anniversaire, ce qui paraît provoquer une réaction de lassitude générale parmi nos lurons. Tout porte à croire que les fascistes sont des habitués de la boisson qui ne se privent pas d'alcool lorsqu'ils me surveillent, car l'un d'eux réclame sa bière. On vient d'appeler au téléphone quelqu'un que ses camarades pressent d'aller répondre. Vous ne manquerez pas de vous apercevoir ultérieurement que ce sont souvent leurs mamans qui les appellent ! Apparemment celui qui vient de se faire appeler aurait un caractère plutôt instable, car une de ses camarades l'enjoint de ne pas casser le téléphone et un autre lui rappelle sa folie passagère du jour précédent. Evidemment, ils ont tous besoin d'une aide spécialisé, mais ne savent pas où la demander. Quant au téléphone, soit il s'agit d'un appareil fixe qui se trouve dans une pièce éloignée de ma caméra, car je n'ai jamais entendu sa sonnerie sur mes enregistrements jusque là, soit ils laissent leurs portables dans une autre chambre et quelqu'un se charge de les surveiller. Ensuite, on entend un garçon dire d'une voix forte : "Pousse-toi !", pour que quelqu'un d'autre passe, mais un autre lui répond que celui qui veut passer n'a qu'à le faire, estimant sans doute qu'il y a suffisammet d'espace. Un garçon appelle subitement quelqu'un que l'on surnomme le "Petit". On lui répond que ce dernier serait sorti. Après, un garçon exprime la frustration de son impatience et un autre moque une fille parmi eux de ne pas pouvoir s'accroupir. La fille en question se sent vexée et lui fait savoir combien il est "con". En guise de réponse, on lui signale grossièrement qu'elle devrait mincir et que la tâche qu'elle est sensée accomplir est en fait très simple. Nous decouvrons le prénom d'Antonya, une fille qui est en train de préparer quelque chose - peut-être de la nourriture(le poisson du pavillon dont il a été question deux minutes plus tôt?) ou est-ce la fille qu'on vient de moquer pour son inaptitude à terminer une tâche simple. A la fin, une fille demande des volontaires pour se faire accompagner quelque part.
Première publication : le
lundi, 3 décembre 2012.
Mise à jour : le
lundi, 14 octobre 2013.

Publié : le mardi,
31 décembre 2013.

Publié : le lundi,
13 janvier 2014.

Première publication : le
lundi, 27 janvier 2014.
Mise à jour : le
lundi, 7 avril 2014.